Des détails ont émergé d’une puissante opération militaire menée par les États-Unis d’Amérique contre des installations nucléaires iraniennes. Mais comment l’attaque s’est-elle déroulée ? Selon les médias internationaux, l’opération a impliqué 125 avions, dont sept bombardiers qui ont largué un total de 20 bombes — chacune pesant environ 14 tonnes — ainsi que des milliers de missiles. Une tactique de diversion a été employée pour distraire les défenses iraniennes. Cela consistait à envoyer des bombardiers au-dessus du Pacifique comme diversion, une stratégie révélée aux médias par le président des chefs d’état-major interarmées de l’armée américaine.
Le général Den a déclaré que les avions ont décollé d’une base aérienne dans le Missouri, marquant la plus longue mission de bombardier B-2 depuis les attaques du 11 septembre. Selon lui, à minuit, de vendredi à samedi, un grand groupe de bombardiers B-2 est parti des États-Unis continentaux. Pour préserver la surprise tactique, une partie du groupe a volé vers l’ouest, en direction du Pacifique, comme leurre. Cette manœuvre trompeuse n’était connue que d’un petit nombre de planificateurs, de hauts responsables à Washington, et de la presse.
Le groupe principal de frappe était composé de sept bombardiers B-2 Spirit, chacun piloté par deux membres d’équipage. Ces équipages ont volé vers l’est avec une communication minimale pour maintenir le secret opérationnel. Après l’accomplissement de la mission, les bombardiers ont entamé leur retour sans subir de dommages de la part des défenses iraniennes.