Vladimir Poutine semble prêt à déclencher une arme nucléaire dans la région arctique à tout moment. De fortes traces radioactives ont été détectées le long de la frontière entre la Norvège et la Russie, après que le Kremlin a déclaré qu’il était prêt à reprendre les essais nucléaires pour la première fois depuis la guerre froide.
Pendant ce temps, des responsables russes ont déclaré que si un ordre était donné par Poutine, un essai pourrait être réalisé immédiatement dans l’Arctique. Des dirigeants de haut niveau au Kremlin feraient pression sur Poutine pour qu’il teste une arme nucléaire afin d’avertir l’Occident. L’explosion d’essai aurait lieu sur un site d’essai de l’ère soviétique dans l’archipel de Novaya Zemlya. Le directeur de l’installation, l’amiral Andrei Sinitsyn, a déclaré que le site d’essai était prêt à reprendre les activités d’essai à grande échelle. Il a affirmé que l’Occident avait intensifié la surveillance, signe possible d’inquiétude concernant les essais nucléaires.
L’ancien chef de l’agence spatiale de Poutine, Dmitry Rogozin, a appelé il y a quelques jours à la reprise des essais nucléaires interdits à Novaya Zemlya. Nous devons nous assurer que les arrières de l’Occident commencent à trembler de peur, a-t-il déclaré. Un essai nucléaire est perçu par certains propagandistes de Poutine comme un renforcement de son avertissement selon lequel permettre aux missiles fabriqués en Occident de frapper la Russie signifierait que l’OTAN est impliquée dans une guerre contre son pays. Des traces de césium-137 radioactif ont été trouvées le long de la frontière entre la Norvège et la Russie en septembre.
